Utiliser le CO2
pour dissocier la molécule d'eau
et produire de l'hydrogène

Technologie Valocarb©  Production massive d’hydrogène « vert »

Cette technologie élaborée par CO2 Nouvelle Energie/Valocarb©, est une technologie de rupture d’inspiration biomimétique qui utilise le CO2 pour dissocier la molécule d’eau, cette dissociation constituant le point de départ d’un cycle permettant la production d’hydrogène à bas coût.

Cette technologie s’appuie sur une compréhension extrêmement fine des mécanismes physico-chimiques impliqués dans la dissolution des gaz, et permet de copier le fonctionnement du vivant, tout en s’affranchissant des contraintes du vivant.

Le CO2 joue ainsi le rôle d’un vecteur de production d’hydrogène, en relation avec un ensemble d’autres vecteurs présents en phase aqueuse, agissant selon un grand nombre de mécanismes physico chimiques interconnectés, engendrant des mécanismes d’autorégulation qui vont naturellement s’opposer à ce cycle, et qu’il convient de maîtriser afin de pouvoir les contrôler et en assurer le fonctionnement en continu.

VALOCARB© sera en mesure de produire à bas coût, des quantités massives d’hydrogène, avec cette technologie qu’elle a appelée procédé de « cycle du carbone artificiel ».

Un pilote industriel est à l’étude pour la dernière phase de R&D, avant un déploiement massif.

Cet hydrogène « vert » et à bas coût :

  • pourra être utilisé sur tous les marchés actuels de l’hydrogène
  • pourra alimenter la mobilité verte, en permettant l’avènement des voitures à hydrogène
  • pourra assurer une transition énergétique massive, par remplacement des énergies fossiles.

Vu que l’hydrogène produit par électrolyse de l’eau via l’électricité lié aux éoliennes et au solaire, est qualifié d’hydrogène « vert », l’hydrogène produit selon le procédé Valocarb© de « cycle du carbone artificiel », mérite alors, en fait, la qualification d’hydrogène « super vert », car ce procédé :

 

  • ne génère pas de CO2
  • exploite le CO2 pour dissocier la molécule d’eau
  • produit de l’hydrogène-énergie qui pourra se substituer à la source d’énergie fossile initiale, génératrice de CO2.

Pour démontrer la faisabilité du procédé en vue de l’implantation d’un pilote industriel stationnaire, face à une législation contraignante, une unité mobile de démonstration a été réalisée par CO2 Nouvelle Energie, sa société de R&D.

 

Les premiers tests et démonstrations ont été effectués sur une chaudière collective qui a fourni le CO2.

essais sur chaudière collective

Puis de nombreuses autres démonstrations ont été effectuées sur plusieurs sites, en présence de différents observateurs scientifiques et industriels, qui ont tous été parfaitement convaincus par les résultats constatés.

L’unité mobile présentée dans cette vidéo est alimentée en CO2 par le pot d’échappement d’une voiture à essence, en guise de cheminée d’usine.

Le taux de CO2 de la fumée d’échappement est mesuré :

  • en entrée, avant captage par la matrice de captage/dissolution : cadran CO2 entrée/in.
  • en sortie, après captage par la matrice : cadran CO2 sortie/out.

Ce taux augmente en entrée et sortie, dès le démarrage du moteur, et diminue dès l’arrêt.

Le taux d’hydrogène est mesuré par un analyseur de marque H2scan, sélectionné pour ses grandes qualités de précision et de fiabilité, et commercialisé par la société SISTEC.

Ce taux d’hydrogène cesse d’augmenter dès l’arrêt du moteur, mais en raison de la présence d’un clapet anti-retour, il reste stable dans l’appareil.

Les besoins énergétiques pour le fonctionnement de cette unité mobile sont peu élevés, et l’énergie électrique pour alimenter les pompes à gaz, les pompes à liquide et les analyseurs, a été fournie par la batterie de la voiture, via un convertisseur 12/220 Volts.

Cette indépendance de fonctionnement, associée à un simple transport sur remorque avec bâche de protection, a grandement facilité la réalisation des démonstrations.

L’objectif principal de VALOCARB®
  • Réduire massivement les émissions de CO2 industriel et les valoriser
  • Développer une production massive d’hydrogène « vert » à faible coût, selon un procédé de rupture qu’elle a élaboré et appelé procédé de « cycle du carbone artificiel ».

Le potentiel de ces deux marchés est évalué à plusieurs milliers de milliards d’euros.



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